Alex Marquez : « Si Ducati veut que je teste quelque chose, je suis disponible ».

Avant ce week-end, Alex Marquez était présenté comme le favori, un peu comme Catalogne, mais les évènements ne se sont pas passés comme il les aurait souhaité.

Après un vendredi difficile avec 2 chutes, Alex Marquez s’est repris le samedi mais sans jamais être totalement à l’aise sur sa GP24.

Il a ainsi récolté les points de la seconde position du Sprint, ce qui lui a offert la seconde place définitive du championnat du monde.

Mais aujourd’hui après de petits changements testés au Warm-Up, Alex était bien décidé à jouer la victoire et il savait exactement quelle tactique adopter.

Et en répondant à Dani Pedrosa, il en profite pour faire un signe à Ducati et leur rappelle qu’en l’absence de son frère, il est là pour les aider dans le développement de la future GP26.

Avec Pecco, j’étais clair. Aujourd’hui, il fallait que ce soit comme ça, il fallait attaquer , il fallait être là. Le virage 4 était le virage où j’avais vu hier et aux essais, que c’était le point fort où je pouvais attaquer. C’était une course assez lente, honnêtement… C’était une course de gestion absolue , et nous l’avons parfaitement maîtrisée.

Je suis arrivé ici avec un état d’esprit qui a changé dès le début du week-end, et je ne savais pas comment gérer la situation au mieux. Deux chutes vendredi, et surtout, je fais déjà partie des vétérans, mais cette fois, j’ai aussi commis une erreur.

On a des attentes excessives lors d’un week-end où tout aurait du être facile, et ça se complique dès le départ. Petit à petit, nous avons fait les choses… Nous avons essayé de stabiliser la moto pour avoir une course très régulière. Pas pour être ultra-rapide, mais pour éviter les erreurs.

Profitons-en, comme nous l’avons fait aujourd’hui. Au final, c’est une grande tranquillité d’esprit d’avoir tout bouclé, de continuer à accumuler des points et de prendre du plaisir sur la moto, c’est sûr.

Et j’ai déjà dit à Ducati que j’avais tout finalisé pour cette année, tout est déjà là. S’ils ont besoin de tester quelque chose, je suis là, car c’est important pour l’année prochaine.